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Carte double sans message intérieur
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Au Gui de l’an neuf
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Une plante sacrée largement présente dans la mythologie, les contes et les légendes.
Associé à Hermès par les Grecs, il revêt pour les Gaulois une grande importance. Les druides allaient en forêt pour couper le gui sacré, de préférence sur un chêne, même si la chose est exceptionnelle, le sixième jour de l'année celtique. Il faut savoir que le chêne est pour les Celtes l'arbre soleil symbolisant force et puissance tandis que le gui est le végétal dédié à la lune.
Les druides considéraient cette plante comme sacrée en raison des vertus médicinales et miraculeuses qu'ils lui attribuaient. Le gui était un talisman chassant les mauvais esprits, purifiant les âmes, guérissait les corps, neutralisant les poisons, assurant fécondité aux troupeaux, et même permettant d'entrer en contact avec l'au-delà.
Une plante de décoration des fêtes de fin d'année avec le houx et le sapin
En Europe, il était d'usage de s'embrasser sous une branche de gui et de choisir une baie de la gerbe, symbole de prospérité et de longue vie au moment de Noël et du jour de l'an. On retrouve cette tradition du baiser lors des fêtes grecques des Saturnales. La saison voulant que le gui abonde, on en cueillit dès le Moyen-Âge pour l'offrir avec ce souhait : "Au gui l'an neuf", fut une formule en vogue prononcée jusqu'au début du 20ème siècle lors de présentation des vœux de début d'année. En Angleterre au 18ème siècle, si une jeune femme célibataire acceptait un baiser alors qu'elle se trouvait sous la "kissing ball" (la "boule à baisers", boule de gui décorée et accrochée aux portes), elle était ainsi promise à un mariage dans l'année.
Dimensions | 11.4 x 17 cm | |
Caractéristiques | livrée avec une enveloppe blanche |
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